neil young a letter home chronique

NEIL YOUNG – CHRONIQUE ALBUMS @ ALAIN FLECHE

Rock ‘n Roll will never die

Fan de Neil Young devient un sport de riche
En moins de 12 mois notre vieux ‘Loner’ s’est vu crédité d’une avalanche de galettes ravissantes pour nos oreilles …
et nos éconocroques !
Faire le tri entre le bon grain et l’ivraie … reste l’ivresse de continuer à découvrir, plage après plages, le bonheur de la perdurance créatrice ou pour le moins la continuité sans faillir de la transmission de la ligne bleue du blues qui est … avec les taches de garantie !

Bon déjà, on démarre fort avec l’apparition oviniesque d’un délire plus qu’abouti de ’88 :
NEIL YOUNG – BLUE NOTE CAFé
si j’osais : une Tuerie ! Si !
Rythm and Blues, tu vois ?
Avec les jolis cuivres qui vont bien. Et le beau gros son sale de papy Grunge, à chaque coin de mesure anticipée, et n’en finit plus de mourir à chaque hurlement du chef de meute.
On se l’est rêvé à la ‘Blues Blues Brothers’ à lui tout seul,
il s’est pas gratté le vieux démoniaque quinca et roule ma poule, que du miel rocailleux du fond de la tripaille, et se dépouille en moins de 12 ! yeap.

neil-young-1988-blue-note-cafe

Et que des morceaux trouvaille concoctés pour l’occasion. C’est bien du Neil Y., et du bon ! On y retrouve, tout de même, mais sans heurt:
Ordinary People‘ qui en devient pathétique de sanglots disparaissant derrière une nappe cuivrée de résignation où pourtant la colère de se sentir floué reste à fleur de poil ; et puis surtout : ‘On The Way Home‘ déjà joyeux, rien d’inattendu mais tj. frais.

https://www.youtube.com/watch?v=fLpf-15JdvQ

Passons rapidement, par un gros croc en jambe de carte bancaire oblige, et pas que, sur une floppé de
‘Bootleg’s’ composés de plusieurs nombreuses, et onéreuses rondelles quasi indispensables (sùr il m’en manque …) qui nous faisaient déjà découvrir, le Neil Young nouveau avec des vrais morceaux d’investissements perso sur sujets chauds ; on attaque les Mosanto’s years sur nappe de
‘Promise of the real’ (ça existe ça?) (Si !) Bénéfit and tour de rodage en exemple. Autre chose :
Ça vit, ça existe , ça excite !

Attendez, encore un truc impossible , imprévisible, entreuuuh… tu mets ça dans le tourne-cd, tu te demandes depuis quand tu l’as ce putain d’appareil. Merde c’est grave, non, mais, attends, c’est pour de rire, ha non, là oui ; non c’est autre chose ; reconstitution ; réparation ;
émotion ! C’est : LETTER HOME

neil-young-a-letter-home

Un son pourri de chez, et tu piges, c’est voulu, si ! Le Hérault du Bon Son se fait perfection du Son Pouri , Si !
C’est beau comme un bateau qui tangue à y mourir et celle ci qui ne veut plus rien dire … son authentique de la cabine téléphone vintage ’60 et les titres qui vont bien , au bord du mal de mer et Là … Il se découvre, à poil avec la Martin,
bon, grave trop bon ! Il joue parfait, juste, du cœur, et aussi avec Willie Nelson, un poil, dans le bon sens.
encore un truc
Presque obsène de Beauté accusée que ne vante pas une boite et photos. Design d’époque ’94, et
toutes ses cordes ! Encore une perle ! À se chier dessus ,
que du bon que t’y crois pas. J’vais pas t’dire les titres de ‘Down By The River‘ à patauger dans le bayou, de Bob ‘s All Along The W. qui ne cède rien en intensité émotion ni au pire ni au meilleur, sauf que moi j’pleure.

Il est dedans, et t’y met ! Change your mind !!! conclusion que logique de la saga/raga(?) du grandiose Sleep with Angels. Chut, plus rien à dire, si ? , attends … écoute.
Tout te dis-je ! Harvest Moon et Old Man, ha dit donc, ça y est ? Tu l’as croisé ? Le vieux que tu as déjà vécu ? Etait-ce à la croisé de quel chemins dont tu as longtemps révé !?

https://www.youtube.com/watch?v=mDpY3qW7HDs

On se quitte pas avant un bon vieux des fagots (et well) Heart of Gold qui sent fort la pierre qui saigne , et surtout Le Rockin’ qui fait Tout ce qui peut pour libérer ce pauvre monde qui mérite qu’à se prendre une bonne branlée pour se réveiller ! Là ! Et tout ça , c’est dans ON THE FARM !

Il a fait WAR
voilà EARTH

neil-young-earth

Avant d’entendre, tu vois :
pochette avant noir, un peu blanc un peu … machin
Bowie ? Non, presque ouvre l’objet : vivant, vieux et vivant, et gueulant : ça gueule , PRESENT ! 2 cd’s raz la gueule ! Bon, ok, c’est Promise Of The Real !
On largue Peggie cette ancienne amie, on s’refait le bon vieux coup de ‘autobio. 2’ (avec des bagnoles paraît il ), on pond ce que ce ne serait que diarrhée : des sons qui ne sont
que parfaits
Hey Man , fait nous plaisir, continue !!!
Presque aussi autant impossible que WAR vous dis-je fidèle lectorat, mais un p’tit p’us : Vampire Blues (le Blues que j’t’dis ) After The Gold Rush à se pendre pas haut ni court , et tout plein d’autres trucs pas possible à se faire rêver d’un autre monde où on pourrait peut être un jour se retrouver
tous ensemble.

bon, me manque 2/3 trucs, j’ai pu d’sous
à suivre
Yeap

Alain Flèche